L’automne littéraire, comme le veut la tradition!

Un tout petit article de rien du tout pour vous tenir au courant de mes prochaines activités littéraires!

Salon du livre de l’Estrie
Kiosque des Six Brumes (213)
Samedi 14 octobre, de 16h30 à 18h30
Dimanche 15 octobre, de 11h à 14h

Lancement collectif des Six Brumes et de Brins d’Éternité
L’Amère à Boire, Montréal, le samedi 21 octobre à 17h
Je n’y suis pas pour une raison particulière, plutôt pour avoir le plaisir de retrouver les amis (et parce que, comme d’habitude, je signe une critique dans Brins!)

Salon du livre de Montréal (15 au 20 novembre)
Kiosque des Six Brumes
Je ne pense pas inscrire de séances de dédicaces officielles au programme, mais je risque d’aller glander un peu au kiosque durant la fin de semaine, pour sûr! Pour les intéressés, je vous fournirai plus de précisions le moment venu.

Sinon, le tome 1 (réécrit) de la trilogie et les nouvelles avancent bien, de beaux projets (littéraires et autres) sont sur le point de se concrétiser… Disons que si le début de 2017 était à oublier à bien des niveaux, les prémices de 2018 s’annoncent prometteuses!

À suivre, encore et toujours… 😉

 

De nouvelles expériences et des projets stimulants dans la mire!

Ouf, je constate avoir négligé mon blogue depuis un petit moment déjà… disons que j’ai été fort occupée!

Finalement, je n’ai été chez SherWeb que jusqu’à la mi-mai. Je détestais le travail en lui-même, malgré le fait que toute l’équipe était vraiment sympathique. Dommage. Pour l’heure, j’en suis revenue aux communications! J’occupe actuellement un poste d’agente de communication/rédactrice chez CDS Boutique, une PME de Sherbrooke. Voilà pour les nouvelles.

Soirée littéraire animée par Patricia Powers à la Librairie Poirier
C’était au mois d’avril, à Trois-Rivières. En compagnie de presque tous mes comparses des Murmurantes (il manquait Ariane, partie outremer à ce moment-là), j’ai eu le plaisir de participer à une table ronde sur la littérature, animée par Patricia Powers, qui m’avait enseigné à l’UQTR. En plus de revoir mes chers co-auteurs, j’ai pu revoir Paul Dallaire, un enseignant du Collège Shawinigan que j’avais beaucoup apprécié lors de mes études en Arts et lettres. Une belle soirée, en somme!

Congrès Boréal 2017
Ah, Boréal! Ma deuxième édition entière en début mai, cette fois-ci à Québec, au Monastère des Augustines. Il manquait des gens que j’aurais vraiment aimé y voir et, comme d’habitude, je n’ai pas eu le temps de parler à tout le monde et d’assister à tout ce qui m’intéressait; ceci dit, l’ensemble était super, comme toujours! Partager ma chambre avec Marie, David et Pierre-Alexandre a donné lieu à bien des anecdotes et des fous rires, et le temps passé en compagnie de plusieurs ami(e)s et collègues (Véronique, entre autres!) en a vraiment valu la peine.

Comité organisateur du Congrès Boréal 2019
Depuis près d’un an déjà, je suis membre du comité organisateur du Congrès Boréal de 2019, qui se tiendra à Sherbrooke! Guillaume, Mathieu, Véronique, Elisabeth, Marie, Éric et moi avons beaucoup de plaisir tous ensemble, et nous sommes en train d’œuvrer à mettre sur pied un super congrès, pour sûr! De ce côté-ci, ça se développe lentement, mais sûrement.

Concours « Sors de ta bulle! »
En mai dernier, j’ai eu la chance de siéger sur le jury du concours « Sors de ta bulle! », concours d’écriture destiné aux adolescent(e)s de 3ième à 5ième secondaire de la Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke. L’expérience s’est avérée très agréable, et extrêmement enrichissante sur le plan littéraire (entre autres pour m’aider à voir, dans ces manuscrits amateurs, les tics d’écriture à éviter dans les miens!) C’était très formateur, et j’ai été heureuse de constater que les jeunes continuent de s’intéresser à l’écriture et aux genres de l’imaginaire. J’ai aussi beaucoup apprécié délibérer avec mes confrères Bruno Lemieux et François Beaudoin, qui ont été de très bonne compagnie. Le manuscrit primé, celui de Charlotte St-Jean Perron, sera publié l’an prochain aux Six Brumes. Une expérience que je tenterais à nouveau avec plaisir!

Soirée Hatley-téraire
À la fin mai, j’ai eu le plaisir de participer à une soirée littéraire organisée par mon ami l’auteur Jason Roy, où j’ai pu lire mon texte « La femme qui soupirait » devant un public intime, à la Caravane de North Hatley. L’expérience a été fort agréable et m’a permis de découvrir (ou redécouvrir) la plume de Christiane Lahaie (ma directrice de maîtrise!) Billie-Anne Leduc, Dominique Garand et Guilhem Gosselin Rodière, des auteurs ma foi assez talentueux.

Mystérieux projet collectif…
Comme je ne sais pas à quel point je peux en parler ou non, disons seulement que je vais préparer un texte pour un projet d’écriture collectif, mené en compagnie d’auteur(e)s que je respecte et que j’apprécie énormément! Cela reste à suivre, mais ça s’annonce assez fou, et super stimulant.

Un autre jury!
Je ne donnerai pas de détails pour l’instant, mais on m’a approchée pour faire partie du jury d’un prix littéraire, une offre que je ne pouvais (et ne voulais) pas refuser! Beaucoup de lecture m’attend, mais ça promet.

Du côté de ma trilogie
La réécriture du tome 1 de la bête va bon train. Mes collaboratrices créatives et moi-même avons tenu une rencontre à la mi-juin pour clarifier plusieurs détails importants, et la trame officielle et finale se précise. Une heure d’écriture chaque matin me permet d’avancer, un chapitre à la fois. Je suis motivée comme jamais, et vraiment persuadée que cette version est beaucoup plus solide que la précédente. À suivre!

Pour le reste…
Des nouvelles ici et là, en attente d’être jugée dans diverses revues, et d’autres idées qui germent, petit à petit… Je ne m’ennuie pas, en tout cas!

Voilà pour le moment. J’essaierai de ne pas attendre aussi longtemps avant de vous redonner de mes nouvelles… mais il se peut que j’aie un peu de mal à tenir parole. En espérant que vous ne m’en tiendrez pas trop rigueur… 😉

D’accord, je vous avais menti.

Je vous avais promis des nouvelles fraîches en avril dernier… et bien mieux vaut tard que jamais,  parce que c’est maintenant, en pleine chaleur de juillet, que je me décide à prendre le temps de venir rédiger un billet! Il faut dire que les derniers mois ont été riches en projets et événements divers, mais même si la plupart d’entre vous êtes déjà au courant, je vais récapituler le tout.

D’abord, au mois de mai a eu lieu, à Mont-Laurier, le fameux Congrès Boréal (mon tout premier congrès entier, car l’année précédente, je n’y étais allée que pour un après-midi!) J’ai adoré mon expérience, qui a été pour moi l’occasion parfaite de revoir des amis, d’en rencontrer de nouveaux, d’assister à des tables rondes, de parler de mes propres projets à venir avec d’autres passionnés et d’animer un entretien littéraire avec la très sympathique Véronique Drouin (auteure de la série Amblystome)! Ajoutez à cela une généreuse dose de fous rires, de longues discussions passionnantes et vous avez tous les ingrédients pour une fin de semaine réussie! Vraiment, à refaire, année après année (dans la mesure du possible!)

Environ une semaine avant Boréal avait été lancée la campagne de prévente annuelle du catalogue des Six Brumes, dans laquelle figurait le collectif Les Murmurantes, auquel j’ai l’immense plaisir de collaborer avec Ariane Gélinas, Frédérick Durand, François Martin, Mathieu Croisetière et Michel Châteauneuf! Les résultats de la campagne ont été bien au-delà de nos espérances (même la toile qui figurera en couverture, peinte par la talentueuse Joanie Gélinas, a été vendue!) Maintenant, nous en sommes à l’étape des corrections et de la révision littéraire ; ce n’est pas une mince affaire, mais c’est un travail très formateur et, dans l’ensemble, ce projet constitue pour moi une formidable expérience! Il me tarde de vous faire découvrir notre travail!

Sinon, je continue de progresser dans la rédaction de la série de fantasy à laquelle collaborent également mes chères Audrey et Laurie-Ann (toujours beaucoup de plaisir en perspective), je planche sur quelques nouvelles (une que j’aimerais soumettre au Sabord et qui viendrait s’ajouter au recueil que j’ai commencé à développer dans le cadre de mon mémoire, ainsi qu’une autre pour Clair/Obscur) et je suis en attente d’une réponse du comité de lecture de Solaris pour leur verdict sur un autre texte! Enfin, à travers tout cela, je continue de pondre des critiques ponctuelles pour la revue Brins d’éternité et pour Le fil rouge! Il n’y a pas à dire, ça bouge continuellement, par ici!

Sur ce, je retourne rédiger un peu de fiction… et pour le prochain billet, cette fois, je ne m’avancerai pas trop sur la date… mais vous aurez de mes nouvelles, soyez-en assurés! Merci de me lire (sous une forme ou une autre), et au plaisir!

L’automne, le temps des événements littéraires!

Alors que les arbres sont en feu (et que les flocons se mettent de la partie!), les événements littéraires foisonnent dans mon entourage, ces temps-ci! Évidemment, ce n’est pas pour me déplaire : toutes les occasions sont bonnes pour rencontrer d’autres passionnés de livres et revoir des visages familiers.

Cela a commencé le 1er octobre dernier avec le triple lancement des sympathiques Mylène Gilbert-Dumas, Elisabeth Tremblay et Éric Gauthier, qui avait lieu au Parvis, mon (bien-aimé) lieu de travail. Non seulement j’ai pu faire le plein de livres (il me fallait bien me procurer les trois nouveautés à l’honneur…), mais j’ai également profité de l’événement pour discuter littérature et prendre du bon temps!

Les festivités se poursuivaient le 10 octobre, à Montréal, alors que je me suis rendue en très bonne compagnie au triple lancement (un autre!) de Brins d’Éternité, Clair/Obscur et Les Six Brumes, qui avait lieu à L’Amère à Boire. Au menu : rencontres enrichissantes, discussions animées, éclats de rire et plaisirs partagés! J’en suis repartie enthousiaste d’avoir fait la connaissance de nouveaux artisans de l’imaginaire et heureuse d’avoir revu ceux dont j’appréciais déjà la plume comme l’énergie.

Enfin, du 15 au 18 octobre avait lieu le Salon du livre de l’Estrie, où j’ai tenu, durant deux avant-midis, le kiosque des Six Brumes. Cela a été l’occasion parfaite pour moi de faire (une fois de plus) de belles rencontres et de pouvoir partager mon appréciation des ouvrages de cette maison d’édition avec le public! L’expérience m’a beaucoup plu et je n’hésiterai pas à la renouveler, si j’en ai l’opportunité.

Il va sans dire que fréquenter autant d’auteurs et d’éditeurs en quelques semaines a eu un effet stimulant sur ma créativité: comme à chaque fois que je reviens d’un événement du genre, je suis extrêmement motivée à faire évoluer mes projets et de nombreuses idées voient le jour dans ma petite tête échevelée! Maintenant, il ne me reste plus qu’à faire ce qu’il y a de plus important dans ces cas-là : m’asseoir, et écrire, écrire, écrire…

Boréal, un peu (beaucoup) en retard

En mai dernier (je suis un peu beaucoup en retard dans les nouvelles, je sais…), j’ai eu la chance de participer pour la toute première fois au Congrès Boréal, un événement annuel où se rassemblent les auteurs, éditeurs, distributeurs, illustrateurs et amateurs de littératures de l’imaginaire (i.e fantastique, science-fiction, fantasy, horreur, noir, etc.)

J’ai entendu parler de Boréal il y a quelques années, dès ma toute première incursion dans le domaine littéraire en tant qu’auteure. Mes nouveaux amis écrivains l’évoquaient avec enthousiasme, quand il ne m’encourageaient pas carrément à venir moi-même y faire un tour! Évidemment, lors de la première année, j’étais un peu mal à l’aise à cette idée : me retrouver seule dans un congrès où je connais peu de gens, avec l’impression de me retrouver au beau milieu d’une joyeuse réunion de famille où tout le monde se retrouve avec plaisir, non merci! Un jour, peut-être, je me disais.

Et puis les mois ont passé, j’ai assisté à d’autres événements, d’autres Salons du livre ; j’ai rencontré d’autres auteurs, développé d’autres amitiés dans ce domaine, assez pour commencer à m’y sentir réellement à l’aise. Cette année, quand j’ai su que j’étais disponible pour aller faire un tour au Congrès, je n’ai pas hésité: je tenais à y aller.

Je ne l’ai pas du tout regretté: non seulement j’y ai retrouvé avec plaisir mes amis écrivains habitués de l’événement, mais j’ai également fraternisé avec des auteurs dont j’aimais les récits, j’ai découvert des auteurs qui m’étaient inconnus et j’ai discuté avec plusieurs d’entre eux de sujets captivants. Parce que nous étions tous là pour partager notre amour des littératures de l’imaginaire, il y avait une belle énergie dans la place et je l’ai très bien sentie! C’était un réel plaisir pour moi que de discuter de ce qui me passionnait le plus avec des gens qui appartenaient au même monde, qui baignaient dans les mêmes eaux.

Une fois de plus, cette journée passée à Boréal m’a confirmé à quel point ce milieu est inclusif, constitué de personnalités chaleureuses et accueillantes ; dès mon arrivée, j’ai pu me joindre à des discussions, aller dîner avec des auteurs que je connaissais et d’autres moins, sans jamais sentir que j’étais de trop, que je dérangeais. Les littératures de l’imaginaire au Québec sont regroupées autour de quelques bannières et le milieu est restreint, mais je pense que dans ce cas-ci, c’est une bonne chose: cela permet de créer une atmosphère presque familiale, dans laquelle tout le monde se sent bien.

Après avoir assisté à quelques tables rondes et avoir atteint mon quota de discussions stimulantes, j’ai quitté Boréal avec le sourire aux lèvres et la tête remplie d’idées pour avancer mes projets. Portée par une telle vague d’inspiration, je suis retournée me mettre au travail… en attendant le congrès de l’an prochain!

Anecdotes de Salon (du livre)…

En fin de semaine dernière avait lieu l’édition 2014 du Salon du livre de l’Estrie et j’y étais avec mes collègues Archambault-esques pour travailler ; l’expérience a été absolument géniale.

Un Salon du livre, c’est un événement formidable pour:

-Les auteurs, qui peuvent rencontrer leurs lecteurs, revoir des vieux « amis de Salons », partager leur passion avec tout le monde et, bien sûr, faire la promotion de leurs livres (mais ça, avec la passion, ça se fait quasiment tout seul) ;

-Les éditeurs, qui peuvent présenter au public les auteurs qu’ils ont pris sous leur aile, ainsi qu’un large éventail d’ouvrages édités par leurs soins;

-Les lecteurs, qui peuvent rencontrer leurs auteurs préférés, en découvrir de nouveaux (rajoutant ainsi des titres à leur liste déjà beaucoup trop longue de livres à lire…) et passer un bon moment en famille ou entre amis, à baigner dans l’univers du livre.

Moi, c’était mon troisième salon (à vie, je crois bien.) Le premier, c’était à Québec en 2012, pour signer lors de la parution de ma première nouvelle dans Alibis (inutile de vous préciser que je ne tenais plus en place: avoir la chance d’être véritablement considérée comme une écrivaine, pouvoir rencontrer des gens du milieu… c’était excitant. Après ça, j’ai su que je voulais y retourner, parce que je sentais que je pourrais y être à ma place!) Le deuxième, c’était aussi en Estrie, en 2013, pour travailler au kiosque Archambault pour le livre numérique (encore là, l’expérience s’est avérée très agréable et m’a permis de revoir avec plaisir des auteurs que j’avais appris à connaître personnellement entre-temps!) Cette année, j’ai revu des amis du milieu avec qui j’ai pu discuter écriture et projets futurs, ce qui m’a donné un bel élan pour mener à terme plusieurs de mes nouvelles en cours. Mais ce n’est pas tout…

Oui, je vous ai décrit ce qui était bien dans un Salon du livre. Oui, chacun y vit une expérience unique et complètement différente de celle des autres. Mais pour moi, le Salon du livre 2014, c’était aussi:

-Discuter d’horoscope (et ce n’était pas pour en faire la promotion…) avec Ghislain Taschereau;

-Voir des photos d’archives de victimes de Jack l’Éventreur sur le cellulaire d’Hervé Gagnon;

-Faire la promotion des bijoux Miss Cocotte (ce n’était absolument pas prémédité!) auprès de Pascale Wilhelmy;

-M’improviser garde du corps/assistante personnelle de Geronimo Stilton;

-Voir une lectrice émue annoncer à Mylène Gilbert-Dumas que sa vie a été changée grâce à elle;

-Rôder au kiosque des Six Brumes pour aller plaisanter avec toute l’équipe (toujours aussi sympathique!);

-Discuter couvertures de livres, marketing et édition avec Elisabeth Tremblay;

-Revoir avec plaisir plusieurs visages connus, rencontrer de nouveaux auteurs et rire un bon coup!

Voilà… c’est ce qui résume grossièrement mon passage au Salon du livre de l’Estrie 2014. Un immense merci à tous les auteurs (que je connaissais déjà ou pas) qui ont pris un peu de leur temps pour parler avec moi, me donner des conseils et me partager des anecdotes d’écriture ; c’est la passion de gens comme vous qui rend le milieu accueillant et qui me donne envie de m’y impliquer encore plus. Au plaisir!